AVORIAZ : Samedi matin, vers 8 heures et demie, nous sommes partis pour
la France, à Avoriaz dans les montagnes. Des amis sont venus avec nous, la
famille Schaus et la famille Ponchon. On a mis 7 heures de voiture avec 2 heures
de restaurant. Quand on est arrivé, mes parents ont expliqué aux autres, où
se trouvaient leurs chambres (car ma famille y va chaque année depuis que je
suis née et mes grand-parents avaient acheté un appartement en 1972). Les
Ponchons avaient emmené un petit chien –si mignon !- du nom Struppi.
Enfin, bref, lorsque tout le monde avait rangé ses vêtements et visité le
village, il était déjà 19 heures et on est allé manger au Crépy, un petit
restaurant juste à côté. Là, on mange normalement un plat formidable qui s’appelle
braserade, pour lequel le restaurant est connu. La braserade, c’est de la
viande qu’on doit cuire sur un mini-grill avec des frites, des sauces et de la
salade. Mais ce soir là, tous les enfants ont mangé une fondue au fromage
suisse. Seulement les adultes ont mangés de la braserade. Après le dîner je
suis rentrée avec les filles Nora et Leila, car on n’avait pas envie de se
disputer avec les petits qui se bagarraient tout le temps ! Le lendemain on
est allé louer des skis. J’en ai eu des jaunes avec des bâtons bleus et des
chaussures de ski noirs. Et puis on a skié et à midi on a mangé dans un
restaurant sur une piste. L’après-midi, je suis rentrée pour voir mes
vieilles amies Manou et Fanny Schlesser. On s’est donné rendez-vous à la
patinoire. Les 3 jours suivants étaient à peu près tous pareils : On est
allé skier, manger au restaurant... Mais l’avant dernier jour, Lino Schaus a
eu un accident avec son Snowboard. On l’a attendu en bas de la piste et on s’est étonné qu’il
n’était toujours pas arrivé, car il était normalement un des premiers en
bas. Mon père nous a dit d’aller déjà en restaurant pour que ma mère (qui
était déjà là avec mes frères) ne se fasse pas des soucis. Mais
malheureusement, personne ne connaissait le chemin. Alors, mon père s’est
énervé et on est allé au restaurant tous ensemble. Au télésiège, mon père
a téléphoné au père de Lino, qui n’était pas avec nous, et demandait s’il
ne pouvait pas rejoindre Lino sur son Walkie-Talkie. Mais ça ne fonctionnait
pas. Arrivé au restaurant, on racontait tout à ma mère. Tout à coup, le GSM
de Mr. Ponchon sonnait. On nous informait, que Lino était tombé avec le front
sur la glace et qu’il avait maintenant un traumatisme crânien ! Lino a
été transporté avec un hélicoptère à l’hôpital. Quand on est rentré,
on s’excusait auprès de ses parents. A Lino, j’ai offert des bonbons et je
regardais sa blessure (je peux vous dire, que ce n’était pas agréable à
voir !!!). C’ÉTAIENT MES VACANCES DE PÂQUES