La princesse et la bouteille magique

 

Il était une fois une princesse merveilleuse qui s’appelait Malia de Lichtenbourg. Elle était triste parce qu’elle n’avait pas de copines, ni de copains. Elle avait son professeur privé. Elle ne pouvait pas aller au village sans un garde du corps parce que ses parents avaient pris tout l’argent aux paysans. Alors les paysans voulaient tuer la famille des de Lichtenbourg.

Les enfants disaient à Malia: «Tes parents prennent toute notre nourriture et tout l’argent. Tu as vraiment de jolis vêtements, et nous, nous n’avons presque rien pour mettre. » 

Malia a couru au palais et a tout raconté à ses parents. Le garde du corps a frappé les enfants qui ont dit ça. Les parents de Malia se sont fâchés contre elle. Ils disaient : «Tu n’as pas le droit de regarder les paysans. Sinon tu risques de te faire tuer par eux.» Malia avait peur de rester dans le château merveilleux. Un soir, quand ses parents sont allés sur un bal masqué, Malia s’est enfuie par le jardin des papillons. Elle est sortie par la porte de derrière. C’était en pleine nuit, il faisait noir. Les autres femmes de ménages dormaient déjà.

Malia s’est enfuie chez ses copains, le tigre et son copain le poussin qui était très gentils, tout comme leurs parents. Malia courait à toute vitesse. Les copains étaient très étonnés quand Malia a sonné chez eux à minuit. Elle a tout expliqué dans la chambre du tigre en buvant une bouteille de jus. Et les copains de Malia ont discuté pour savoir s’ils allaient téléphoner à la mère de Malia. Mais Malia a dit qu’elle ne voulait pas. Puis, ils ont joué avec les copains et le poussin est aussi venu dormir chez le tigre. Ils se sont endormis à 4 heures du matin et ne se sont réveillés qu’à midi.

A leur retour au palais (à 6 heures du matin), les parents de Malia s’étaient tout de suite endormis. Ils ne sont plus entrés dans la chambre de leur fille et ils ne se sont réveillés qu’à 2 heures de l’après- midi. Mais quand ils n’ont pas vu Malia tout l’après-midi, ils sont devenus  

très inquiets, parce que personne dans le château n’avait vu Malia aujourd’hui.

Ils ont envoyé 20 soldats et 20 gardes du corps pour la chercher.

Pendant ce temps, Malia s’est cherché une cachette près de la maison de tigre et de poussin. Cette cachette était aussi grande qu’une  maison mais on ne la voyait pas de la route. C’était bien qu’elle s’était cachée si vite parce que les soldats et les gardes de corps sont déjà venus à 4 heures de l’après-midi. Les paysans de tout le village ont dû aller chez le roi. Il leur a demandé l’un après l’autre: «Est- ce que tu as enlevé ma petite fille Malia ou  est- ce que tu l’as vue ?» Mais tous les paysans ont répondu par non.

Entre- temps la mère était allée à la mer. Elle a marché en pleurant sur la plage. Quand les soldates son venus chez elle, elle a dit en criant   – LAISSEZ MOI SEULE !!! Cherchez Malia ! Elle est sûrement dans le palais de sa copine. »

Ils sont allés en courant au palais de sa copine. Mais là aussi, elle n’était pas.

La mère de Malia a regardé sur la mer et tout à coup, elle a vue une bouteille. Elle a pensé - ça peut être un message de Malia. Elle l’a pris hors de l’eau. Elle était triste parce qu’il n’y avait pas de message dedans. Mais il y avait un biscuit chinois avec une petite lettre dedans. Elle a lu cette lettre. Il y avait écrit –Tu as un vœux. Choisis-le bien !

Elle a tout de suite souhaité que Malia soit devant elle. Alors Malia est apparue avec le poussin et le Tigre. La reine a couru vers Malia est elle a cri :
 – Oh, je suis content que tu sois là. Nous t’avons cherché partout. Où as-tu été? Nous nous sommes faits
du souci.
–Maman, je n’ai pas voulu te faire  peur. Mais j’ai voulu jouer seul avec mes copains sans le garde du corps, a expliqué Malia.

Ensemble, elles sont retournées au palais. Et depuis ce jour, Malia pouvait jouer toute seule avec les copains. Le père a dit, qu’elle pourra jouer aussi avec les paysans. Il avait rendu tout l’argent et la nourriture des paysans. Et tous les gens étaient contents.   

-FIN-

Anne-Sophie, Véronique, Salima (février 2005)