Le voleur des os de dinosaure

 C’est un jour de classe. Les élèves de la 6e année primaire vont au musée. Le bus part à 8h30 devant l’école. Les élèves sont très contents. Ils roulent pendant une heure. Arrivés au musée préhistorique, les élèves sortent du bus et se mettent en rangée. Les maîtres leur rappellent qu’ils ne doivent pas faire de bruit. Ensuite, ils entrent au musée. Une employée leur dit bonjour. Les élèves sont impressionnés par le grand dinosaure qui se trouve dans le hall d’entrée.

A ce moment, un des garçons s’éloigne sur la pointe des pieds, tandis que le groupe entre dans la première salle. Les maîtres ne remarquent pas qu’un élève manque.

Marc va dans une salle interdite. Il veut voler des os de dinosaures. Cinq minutes plus tard, un gendarme s’approche de la salle interdite. Marc se cache vite derrière une étagère. Le gendarme ne remarque rien et il quitte la salle.

Marc sort de sa cachette et met des os dans son sac. Puis il rejoint sa classe qui est dans la salle  de l’époque des singes. Mais les maîtres le voient arriver et ils lui demandent où il a été.

Marc bafouille : «JE…eh…j’étais tout… tout le temps…eh…chez vous.»

Les maîtres s’exclament : «Tu mens!» Marc devient de plus  en plus nerveux. Il ne veut pas dire la vérité. Il pense à fuir. Il dit aux maîtres qu’il doit aller aux toilettes.

Dans la cabine des WC, il grimpe par une fenêtre. Puis il se met à courir, car il veut garder tous les os pour lui.

Deux heures plus tard, la classe quitte le musée.

Le soir, le gendarme revient dans la salle interdite et il remarque que des os manquent. Il appelle tout de suite la police. Sur place, les policiers cherchent des indices. Ils pensent que c’est un jeune adolescent qui est responsable du vol. Ils demandent quelle classe était partie en dernier.

Le responsable dit: «C’est la classe de Niederanven.»

La police fait venir la classe de Marc au commissariat de police. Ils prennent les empreintes des élèves et maîtres. Après une demi-heure, ils savent que c’est Marc, le voleur. Mais le garçon  maintient que ce n’était pas lui. La police contrôle encore une fois les empreintes digitales. Alors, Marc doit tout avouer. Il rend les os au musée et est interné dans une maison de correction.

                              

Fin !                                                                                                        Neda (octobre 2005)