Le policier Salut, je m'apelle François et je suis policier. Je vous dis quand on est policier on ne l'a pas facile. Une fois quand je suis juste arrivé au centre de la ville, j'ai déjà vu passé un hold-up dans la banque. Tout de suite j'ai allumé le gyrophare et la sirène. Là , les voleurs m'ont remarqué et ont pris la fuite. Heureusement, les voleurs n'ont as pris d'oages, parce que je ne suis pas encore très éprouvé en tant que policier. Tout à coup j'ai vu les criminels dansune voiture sombre, noire et formée comme un Jeep. J'ai poursuivi la voiture à travers toute la ville, jusqu'à une petite ruelle. Là ils ont traversé jusqu'à la fin du chemin et ont arrêté la voiture. J'ai pensé qu'ils allaient revenir, mais personne ne sortait. J'ai attendu deux minutes mais ils ne sont pas sortis. Là, j'ai ouvert la porte de l'automobile et suis allé, surtout avec mon revolver, ouvrir une des portes de la voiture. J'avais peur qu'ils allaient me tuer, et moi je ne pouvais même pas regarder dans la voiture parce que les fenêtres étaient si noires. J'ai ouvert et…, rien, personne . Alors, je suis retourné. Toute laroute j'ai pensé à là mystérieuse disparition des voyoux masqués. Quand je suis arrivé au commissariat tout mes collègues m'ont salué. Ils ont tous demandé, l'un après l'autre, si j'avais aussi un cas si mystérieux. J'ai répondu oui et demandé dans quelle ruelle ou route cela s'est-il passé. Sur le coup ils ont tous dit dans une petite ruelle inintéressante. Moi, j'ai proposé que chacun dira son histoire et nous regarderons ce que les cas ont en commun. On a trouvé trois choses communes : la voiture, les ruelles qui étaient toujours vieilles et inintéressantes pour tout le monde et il y avait dans chaque ruelle une trappe d'égout. Pour chacun de nous c'était clair que les bandits se cachaient dans l'égout. Donc nous nous sommes mis en route, chacun a grimpé dans l'égout à la place où il était au moment du crime. Moi j'étais déjà très longtemps dans l'égout et je n'avais encore rien trouvé. Tout à coup il est devenu sombre. On ne pouvait plus rien voir. J'ai encore marché deux, trois mètres quand je suis tout à coup tombé…peu après il y avait de nouveau de la lumière. C'était la bonne nouvelle et la mauvaise était que j'étais enfermé dans une cage chez les voleurs du hold-up. Mais quelque chose m'a étonné; mes collègues n'étaient pas encore là. Ceci devait changer très vite. Ils sont tous arrivés sauf la collègue. Mais ceci aussi devait changer encore plus vite. Quand elle est arrivée, elle n est pas tombée dans la cage, mais sur la cage et parce que la cage n'était pas solide et la collègue était plus grosse, la a cage s'est cassée. Là les gangsters sont juste entrés. Ils ont eu tellement peur et voulaient fuir mais moi, je les ai arrêté menottes aux poings. Quand j'ai vécu ça, j'avais ma licence en tant que policier seulement une semaine, et c'était mon premier jour en vrai service de police.
|